Dans l'idéal, je voudrais avoir le temps de faire les formations Montessori pour faire l'école à la maison.
La deuxième solution serait d'avoir une bonne école réellement Montessori dans les environs.
La troisième solution est une école plus classique, mais quand même à pédagogie active.
Pour le moment, c'est cette dernière solution qui est à l'ordre du jour. Les autres possibilités étant pour le moment, matériellement hors d'atteinte.
Alors se posait la question du moment de l'entrée ...
Notre petiot est né en novembre, donc à la fin de l'année, je suis plutôt à vouloir l'y mettre le plus tard possible, on a donc opté pour janvier 2016, il aura 3 ans et 2 mois.
Comme je le disais sur le forum Magic Maman, tout ce que j'attends de l'école, c'est au minimum qu'on ne lui tue pas son plaisir d'apprendre, et qu'il ne soit pas dans un climat de violence et de maltraitance. Et comme je vois qu'il a déjà un caractère bien affirmé, je ne voudrais non plus que ce soit lui le petit caïd.
L'école peut être un endroit agréable à partir du moment où :
- les enseignants aiment leur métier
- les moyens financiers sont suffisants
- les classes ne comportent qu'une quinzaine d'enfants
- le matériel pédagogique est bien adapté
- les parents sont associés à certaines activités.
Il y a des écoles "bisounours" ça existe encore, et en même temps, on peut déplorer que ce soit de plus en plus rare ! Il y a même des enfants qui ne trouvent pas d'écoles maternelles à Bruxelles !
Je ne comprends pas comment c'est possible ... mais il semblerait que certains parents qui ont aussi une vie professionnelle avec des horaires contraignants ne soient pas capable de traverser toute la ville pour les déposer dans la seule école où on leur aura trouvé une place !
Dans le ligueur, une interview relatait combien les administrations cafouillent quand on veut ouvrir un nouvel établissement scolaire tellement c'est devenu rare, alors que les besoins sont criants !
La Belgique est le pays du surréalisme, en voici un nouvel exemple !
jeudi 3 avril 2014
mercredi 2 avril 2014
La chaise évolutive Tripp Trapp de Stokke
Déjà pendant la grossesse, j'ai voulu faire une liste de cadeaux de naissance qui contiendrait des choses vraiment utiles, et durables, autrement dit à utiliser longtemps.
Je pense que de tous les achats, celui qui servira le plus longtemps, c'est bien la chaise évolutive Stokke.
Petit bout a commencé à aller dedans un peu avant ses 6 mois. Il y a de cela une semaine, j'ai enlevé la protection en plastique car il sait très bien sortir de sa chaise, même avec !
Sur le mode d'emploi, ils conseillent de le garder jusqu'à 3 ans. Et en même temps, vu que nous préférons qu'il apprenne à se débrouiller seul dès qu'il se sent prêt, j'ai décidé de faire le test.
La chaise peut s'habiller d'un coussin et se lave facilement.
Et miracle, hier je l'ai vu monter sur sa chaise et s'y asseoir confortablement tout seul, et de sa propre volonté. Après, évidemment il a continué son ascension pour s'installer sur la table de la cuisine. Il a joué tranquillement pendant une bonne vingtaine de minutes.
C'est passionnant à voir ! Son comportement habituel, et spontanné, nous conforte tous les jours de la justesse des principes de Maria Montessori qui défend l'idée selon laquelle les enfants, très petits sont capables d'une énorme concentration !
Pour ce qui est de ses autres pas vers l'indépendance, à 17 mois, il est capable d'enlever son pull, de le mettre dans le panier à linge, il prend aussi le balais, il le pousse, mais n'a pas encore bien compris comment cela s'utilisait, il sait que quand on renverse, il faut passer l'éponge. Il boit à la paille. Il participe à la vaisselle.
Nos enfants et les écrans
Il y en a pour qui les tablettes et autres écrans sont une révolution dans la vie de nos enfants.
Je n'en fais pas partie. Les ordinateurs, il est vrai, sont utiles et parfois terriblement ludiques.
Il n'empêche, qu'il y a certaines précautions à prendre. Pour moi, les touts-petits n'en ont pas besoin, ils ont besoin d'objets réels et d'attention d'une personne en chair et en os.
La campagne des autorités belges donne des repères intéressants à ce sujet.
Pas de télévision avant 3 ans.
Pas de jeux vidéos avant 6 ans.
Pas d'internet avant 9 ans.
Pas de réseaux sociaux avant 12 ans.
Voici les affiches de la campagne :
http://www.yapaka.be/sites/yapaka.be/files/campagne/affiche_ecrans_web_2.pdf
C'est du bon sens. Et j'ajouterais que l'ordinateur avec internet devrait être dans le salon, ou dans une autre pièce où il y a du passage.
Quant aux réseaux sociaux, c'est dangereux, et inutile la plupart du temps. Si un enfant veut vraiment y avoir un compte, il faudrait que les parents puissent surveiller régulièrement ce qui s'y passe, et parlent souvent des choses à mettre et à ne pas mettre dessus.
La réputation virtuelle devrait recevoir le même soin que la réputation dans la vie réelle.
Car avec facebook, rien ne disparait tout à fait, rien ne s'oublie ... malheureusement !
Ces réseaux sociaux ont ajouté un nouveau lieu pour les moqueries. On sait depuis longtemps que les cours de récréations ne sont pas tendres avec ceux qui sont un peu différents pour quelque raison que ce soit.
Aujourd'hui les jeunes, leurs parents, et les établissements scolaires sont confrontés à ce problème qui prend une plus grande ampleur, car les insultes ne s'arrêtent pas une fois l'école fermée, cela continue sur internet. Le jeune peut alors se retrouver complètement harcelé, poursuivi jusque dans sa chambre, sans plus le moindre refuge.
Certains en étaient tellement désespérés qu'ils ont commis l'irréparable.
Oui internet est un bon outil, à condition de savoir l'utiliser, de poser les balises et de ne pas laisser les jeunes seuls face aux risques et autres difficultés.
Les parents ont un rôle à jouer, et l'école aussi, un rôle de formation et de soutien.
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